Rainbow Entertainment
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Rainbow EntertainmentConnexion
-17%
Le deal à ne pas rater :
Casque de réalité virtuelle Meta Quest 2 128 Go Blanc (+29,99€ ...
249.99 € 299.99 €
Voir le deal

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
Orihara Kô

surnom(s) :  Kôokie, Kôko × date de naissance : 01.12.1998 × lieu de naissance : Tokyo, Japon × nationalité : japonais × job ou études : étudiant en double cursus (maths + photographie) × orientation amoureuse : célibataire, hétérosexuel (plus précisément : tômasexuel) × situation sentimentale : c'est difficile à dire × célébrité : Jeon Jungkook | BTS

tell us

about idoling ?
Dis nous ce que tu penses des idoles et des agences ! Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed rhoncus lorem justo, nec dictum dolor sagittis ac. Aliquam rhoncus eu urna sed consequat. Sed non nulla id diam porta semper vitae eu nisl. Proin mattis nibh quis augue pulvinar, eget pellentesque erat gravida. Mauris ut ornare enim. Donec vulputate libero nec laoreet viverra. Cras sit amet nisi et lorem semper volutpat quis nec turpis. Donec nec dapibus ligula. Vivamus maximus, sem vel efficitur porttitor, mauris nunc sagittis nibh, at ultricies risus elit nec magna.
about you ?
Un tout pleins d'anecdotes : Tômaddict ∴ Il était calme, sage, sérieux, avant que ses parents ne divorcent et que Mr Abe et son fils n'entrent dans sa vie ∴ Ses parents de sont séparés d'un commun accord du jour au lendemain, alors que rien ne montrait qu'ils ne s'entendaient plus ∴ Il est jaloux de Tôma, que sa mère aime énormément ∴ Il pense que sa mère l'aime beaucoup moins qu'avant depuis qu'elle connait Tôma ∴ Il est très tactile et très proche de ses parents - ou du moins, était ∴ Il n'arrive pas à se faire à l'idée de former une famille recomposée parfaite, il ne veut pas faire d'effort pour que ça soit le cas ∴ Après avoir rencontré les Abe, il est devenu distant, et beaucoup plus froid, envoyant souvent bouler les gens ∴ Il est sujet à des crises de panique ∴ Il devient agressif quand on l'emmerde trop ∴ Kô fait de la boxe pour se défouler et apprendre à se défendre (mais surtout se défouler) ∴ Il lui arrive de mentir pour garder secret des situations irresponsables et ne pas inquiéter sa mère ∴ Il est plutôt très sportif ∴ Il sort beaucoup avec les sempais de son lycée, maintenant à l'Université pour certains ∴ Même s'il est beaucoup moins investi dans son travail qu'avant, il réussi toujours à avoir de bonnes notes et à être sérieux en cours ∴ Il lui arrive, parfois, de se défouler sur des gens qui l'emmerde trop ∴ Il aime les filles, ne s'est jamais intéressé aux garçons ∴ Il ne fait toujours que draguer, n'échangeant que de simples baisers, il ne va jamais plus loin ∴ Il ne pense pas avoir assez d'assurance pour avoir une relation sérieuse un jour ou pour tout simplement aller plus loin dans une relation ∴ Être amoureux, il sait que c'est chiant et que ça fait mal ∴ Des amis du lycée, avec qui il passe plusieurs après-midis, lui ont appris comment danser le hip-hop ∴ Ce n'est pas une passion, mais il aime bien danser ∴ Il pourrait ingurgiter des tonnes et des tonnes de bonbons sans s'arrêter ∴ Il n'a jamais eu de caries et à peur d'en avoir ∴ Il fait, malgré tous les bonbons qu'il mange, attention à son poids et à son visuel ∴ Il a la phobie des éclairs et du tonnerre ∴ Il aime beaucoup jouer aux jeux vidéos, lire des mangas, sortir, comme un adolescent de son âge ∴ Il se dispute souvent à avec Tôma pour savoir qui des deux aura le dernier paquet de bonbons, ou à qui est le tour pour jouer ∴ Un réveil ne peut pas le réveiller, il faut que ce soit quelqu'un ∴ Il boit beaucoup de thé à la menthe (♥️) ∴ À chaque fois qu'il monte en voiture, il s'endort presque automatiquement ∴ Beaucoup de ses vêtements ont été dessiné par sa mère et sont uniques ∴ Il aime beaucoup écouter de la musique ∴ Il pourrait écouter Tôma chanter pendant des heures tellement il apprécie sa voix - mais ne lui dira jamais ∴ son père lui a transmis sa passion, Kô aime énormément prendre des photos ∴ Ils possèdent de nombreux albums (photos) qu'il chérit, et particulièrement celui qu'il cache sous son oreiller qui contient ses plus belles photos ∴ Il aime beaucoup cuisiner et s'occupe assez souvent du repas quand personne n'est encore rentré.
what about your life ?
Histoire :

Tokyo, 1er décembre 1998, Kô naissait.

Un père photographe et une mère styliste, du même âge, mariés pour leurs 22 ans, et qui avaient accueillis Kô pour leur 23ème anniversaire. Des parents qui s'aimaient, qui le choyaient. Il n'a jamais cessé d'être très proche d'eux. Kô, c'était un  enfant calme, à l'écoute, qui travaillait bien, un petit ange qui passait du temps avec ses parents, beaucoup de temps avec eux, auquel on avait strictement rien à reprocher. Kô avait toujours été très tactile aussi, et avait toujours eu besoin d'amour. Il vivait sur son petit nuage de bonheur, ne manquait de rien, si ce n'est peut-être d'un petit frère ou d'une petit soeur qu'il ne verra jamais ?

Mais on ne choisit pas sa famille et Kô s'en est bien rendu compte. Ses parents s’étaient séparés d'un commun accord à ses 14 ans pour reconstruire chacun leur vie avec un nouveau compagnon, une nouvelle compagne s’ils trouvaient. Sa famille avait éclaté en mille morceaux, et voilà qu'il devait en subir les aléas. C'était difficile à vivre, c'est vrai, cette impression de dire adieu à ce bonheur familial dans lequel il baignait depuis sa naissance. Il n'avait rien vu venir, strictement rien. Il avait su éviter les conflits conjugaux, les engueulades à tout bout de champs, mais était-ce vraiment mieux ? Non. Parce qu'il l'avait appris du jour au lendemain. Et ça faisait mal, très mal. Il fallait cependant savoir faire avec, alors il faisait de son mieux, ne bronchait pas quand il passait une semaine chez l'un, une semaine chez l'autre.

Il avait beau faire tous les efforts possibles, il n'y arrivait pas, il ne supportait pas d'être trimbalé de la sorte, mais il avait trouvé un certain équilibre. Alors pourquoi. Pourquoi Avait-il fallut qu'on le brise. Le moment où sa mère trouva un nouveau copain, il s'en rappellera toute sa vie. Ce fut le second bouleversement de sa vie, à ses 15 ans, qui ravivait la blessure de la séparation de ses parents. Mais le pire, ce fut que ce copain avait une garçon aussi, dont il avait la garde. Il avait son âge, et il aurait pu l'apprécier si sa mère ne s'était pas autant amourachée de lui. Il savait pertinemment qu'elle avait toujours voulu d'un deuxième garçon, et ce dernier commençait à prendre un peu trop de place à son goût. « Dis, tu crois que ça va lui plaire ? » - « Il aime le bleu non ? Je devrais peut-être le lui offrir ! » - « Il est tellement mignon, tu ne trouves pas ? » - « Ah, qu'est ce que j'aurai aimé avoir un deuxième garçon. » Oui. Il s'en était très bien rendu compte de ça.

Pourtant, il savait qu'il existait une petite possibilité de recréer une atmosphère chaleureuse dans une famille recomposée, encore aurait-il fallut qu'il y mette du sien, ce qui était inimaginable. Quand il était chez eux, parce que oui, il ne se sentait plus chez lui, il devenait froid, distant. Les mots agréables, dès qu'il passait le pas de la porte, il les oubliait, curieusement. Des mots simples, comme « bonjour », « s'il te plaît », « merci ». Des mots  plus difficiles comme : « Pardon » , « J’ai eu tort ». Ou encore plus secrets, comme les « je t'aime » qu'il n'avait plus prononcé depuis très longtemps envers sa mère, ni à personne d'autre d'ailleurs. Et encore, le père était sympa, Abe Ikku qu’il s’appelait ! Il était bienveillant envers Kô, qui ne voyait absolument rien, trop occupé à détester l'autre jeune homme qu'il avait ramené avec lui. C'était pas de sa faute si il considérait ce gars comme un intrus.

Mais cette attitude commençait à déteindre sur le Kô de tous les jours, avec ses amis, les autres adultes. Cette histoire l'avait complètement changé, et il n'aimait pas la personne qu'il devenait. Il ne l'aimait pas du tout. A son entrée au lycée, il était tout autre, avait gardé ses anciens amis, mais c'était fait de nouvelles fréquentations, et pas des plus sérieuses. Il avait besoin de prendre ses distances avec ses parents, que ce soit avec sa mère, son copain, ou bien son père qui semblait ne rien comprendre à ce qu'il lui endurait. Il en avait besoin pour s'affirmer, pour trouver son identité. A son entrée au lycée, Kô ne fut jamais mit de côté, et se faisait même souvent remarquer. On ne va pas se mentir, il était plutôt mignon, avait de bons résultats, était sportif. Que demander de plus pour une fille ? Et les regards s'étaient tournés vers lui. Il n'avait pas échappé à ses sempais du bahut. C'était ça, ses mauvaises fréquentations. Avec eux, en dehors des cours, les plus faibles devenaient le punching-ball sur lequel Kô exerçait sa force et son envie de contestation. Et c'était seulement comme ça, en désobéissant aux règles qu'il avait su si bien suivre avant, qu'il se sentait mieux, soulagé quelque part. Puis, ça lui permettait surtout d'éviter de prendre le copain de sa mère ou encore Tôma, son fils, comme cible - qui étaient pourtant idéales, et qui risquaient fort d'encaisser des coups particulièrement rudes, que ce soit par les mots ou par les actes, remplis de toute sa frustration.

Il avait ensuite fallut qu’à ses 16 ans son propre père décide de faire le tour du monde. Une idée qui lui était venu, comme ça, du jour au lendemain, alors que c’était soirée pizza devant la télé. Il ne lui était même pas venu en tête d’emmener son fils, qui avait dès lors été envoyé chez sa mère. Elle avait donc fini par l'avoir sous sa garde 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 12 mois sur 12. Kô avait beau aimer sa mère du plus profond de son être, il ne se sentait pas bien. Sans son père près de lui, bien que ce dernier ne comprenne pas tout quand il lui parlait, il se sentait seul. Très seul. Et s'il rejetait aussi Mr Abe, c'est parce qu'il ne voulait pas qu'on remplace son père. Jamais. Et comme on dit, jamais deux sans trois. Après le bouleversement du divorce de ses parents, la présentation du copain de sa mère et de Toma, il allait devoir emménager avec eux. Une maison, pour eux quatre. Certes, il voulait le bonheur de ses parents par dessus tout, et encore une fois, il avait essayé de dire que ça ne le dérangeait pas quand sa mère lui en avait parlé. Mais avait-il seulement le choix ?  Il aurait énormément aimé accompagner son père, et il aurait pu au final. Il avait 16 ans, et le choix d'être avec sa mère ou son père, mais il n'aurait pas supporter d'être si longtemps sans une présence maternelle à ses côtés. Aussi on lui avait fait partager sa chambre avec Tôma, comme si ce n’était déjà pas assez de l’avoir dans sa classe - car oui, ils étaient dans la même classe, et de vivre sous le même toit que lui. Quelle tristesse, sérieusement.

Même si son père se trouvait à l’autre bout du monde, Kô recevait souvent des lettres, accompagnées de photos, envoyées par son père. Ça lui donnait envie de voir le  monde, et ça le réchauffait aussi d'un certain côté. Si son père n'était pas la, il ne manquait pas de montrer une certaine présence près de Kô, au travers de ses lettres quotidiennes.

Le jeune japonais était en terminale maintenant, et s'il travaillait de moins en moins, trop occupé à sortir, faire toutes autres choses, ses résultats restaient bons, et ses professeurs étaient près à le conseiller à de grandes universités. Et ça, ça faisait peur. Oui. Il ne savait absolument pas quoi faire plus tard. Il n'y avait jamais pensé sérieusement, et quand la case d'orientation de sa fiche de renseignements restait vierge, il angoissait. Kô avait l'impression d'être le seul à ne pas avoir d'idée. Rien ne l'intéressait vraiment, il n'avait envie de rien faire dans sa vie. A l'inverse de Toma qu'il enviait aussi pour cela.


Caractère :

Il y réfléchissait, tentait d'y remédier, mais l'agressivité dont il faisait preuve était sa réponse spontanée à ces difficultés qu'il avait du mal à supporter. Mais, c'était aussi sa manière de les éviter, sans qu'il ne s'en rende vraiment compte. D'ailleurs, il s'était mit à la boxe - faute de toujours trouver des souffres douleurs à l'extérieur du bahut - et c'était un moment qu'il appréciait. Non seulement ce sport lui permettait d'apprendre à se défendre, mais c'était aussi un bon moyen de se défouler, histoire de rentrer plus calme à la maison.

L'amour, faut-il vraiment en parler ? Kô a perdu fois en l'amour quand il a commencé à croire qu'il avait perdu celui de sa mère, qui s'était trop attachée à Tôma. Alors oui, parfois, souvent même, Kô s'amusait. Il draguait, parfois plusieurs filles en même temps, les invitait a sortir quand il s'ennuyait, mais il n'est jamais allé plus loin que de simples échanges de baisers. Avait-il seulement assez d'assurance pour pouvoir un jour avoir une relation durable ? Il ne voulait pas. Être amoureux, c'est chiant, et à ce qu'il paraît, ça fait mal. Et Kô souffrait déjà assez bien comme ça, pas besoin d'en rajouter une couche.

Ce que Kô tentait de cacher aux yeux de tous, c'était bien le fait qu'il était sujet à des crises d'angoisse. Et ce depuis la séparation de ses parents. Un effet secondaire, qui sait. Le sentiment de ne plus se sentir aimé ? De ne plus trouver sa place nulle part ? Ces bouffées d'angoisse, ces petites crises, plus ou moins courtes, plus ou moins aiguës, qui lui serraient le coeur et lui nouaient le ventre, Kô n'en avait parlé à personne. Une fois, il avait même fait un malaise dans la rue, et une jeune femme avait bien gentiment pris soin de lui. Mais sa fierté en avait pris un petit coup.

Kô, c'est aussi quelqu'un de jaloux, de très jaloux. Il s'en est rendu compte - ou bien était-ce à ce moment là qu'il l'était devenu ? - quand Tôma avait fait son apparition dans sa vie.

Pourquoi mentir alors que ce serait si simple de dire la vérité ... Disons que c'est pas vraiment son genre de raconter des bobards, lui qui dit si souvent haut et fort ce qu'il pense. Et quand il ne le fait pas, il s'arrange toujours pour éviter toute conversation. Ou bien, quand ça ne marche pas, c'est vrai, il ment. Mais seulement pour préserver un acte irresponsable secret, ou pour ne pas inquiéter sa mère - pour qu'on le laisse tranquille.

Le jeune Orihara aime la musique. Il ne saurait dire quelle est sa passion, et ne pense en avoir aucune soit disant passant. Mais peut-être que c'est, avec la photographie, ce qui s'en rapproche le plus ? Puis, la musique, ça permet d'être dans son monde. Comme ça, quand il a son casque sur les oreilles, il n'embête personne, et personne ne l'embête en retour. Et s'il y a bien un moment où il se permet de l'enlever, c'est quand Tôma chante. Oh.. Il ne l'avouera jamais ça. Puis, ça ne se voit pas vraiment, il ne fait qu'éteindre sa musique, son casque toujours sur les oreilles pour faire "genre", et il l'écoute. Chose qu'il pourrait faire pendant des heures tant il apprécie sa voix.

Après, c'était un adolescent comme les autres, il aimait jouer, lire des mangas, sortir, faire du sport. Mais, ce qu'il préférait, c'était manger des bonbons. Il pourrait en manger des tonnes et des tonnes, mais malheureusement, s'il devait un jour s'arrêter de faire du sport, cette quantité importante de sucre diminuerai à vu d'oeil, le garçon portant une trop grande importance à son visuel, et particulièrement son poids. Ou sinon, il adorait jouer aux jeux vidéos. Nombreuses étaient d'ailleurs les fois où Tôma et lui se chamaillaient pour savoir à qui finirait le dernier paquet de bonbon, ou encore qui devrait jouer. Puis, comme son père, Kô aime prendre des photos. Ils ne comptent plus le nombre de photo qu'il a pu prendre dans sa vie, et garde d'ailleurs, très très bien caché, ses albums photos contenant celles qu'il a pu prendre tout au long de sa vie, avec sa mère, avec son père, tout seul. Et celui contenant les plus belles qu'il a pu prendre, caché sous son oreiller /pan/.

Au lycée, Kô a rencontré un groupe d'amis avec lesquels ils passent plusieurs après-midi. Lui qui ne dansait pas avant, a appris avec eux. Et c'est maintenant avec un certain plaisir qu'il se permet de danser en leur compagnie, principalement du hip-hop. Certes, il n'était pas très bon, mais il a su s'améliorer, faire des efforts, et continue toujours quand il en a le temps. Ce sont les seuls à savoir qu'il danse, il n'en parle généralement à personne. Même sa mère ne sait pas qu'il s'intéresse à cela.
from the other side
Qui es-tu ? Oui toi derrière ton écran ! C'est quoi ton pseudo, tu viens de quel pays ? Tu as quel âge ? On te demande pas ta carte d'identité mais juste quelques petites infos histoire de savoir à qui on a à faire :D



Dernière édition par Orihara Kô le Mer 18 Oct - 18:58, édité 9 fois

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyRe: Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
MON BEBE DE MOI Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 1684481914 Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 1684481914 Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 1684481914

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyRe: Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
le retour du lémurien !!! (oui tu resteras Bastien le lémurien pour moi ♥️ ) re bienviendu !

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyRe: Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
C'est mon neveu préféré ça Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 2087279258

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyRe: Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
KO~
Mon ... adolescent paumé préféré ?

descriptionOrihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0 EmptyRe: Orihara Kô - Ayo Ladies & Gentlemen 2.0

more_horiz
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
power_settings_newSe connecter pour répondre